Aujourd’hui, je n’ai pas honte du peuple français. Se cacher derrière les masses, c’est trop facile.
Dimanche 25 mai 2014
9h30. Lendemain de fête. Réveil mal assuré. En plein lagen. Je feuillette mon journal en buvant mon café salvateur. Le précieux nectar lave mon esprit des derniers sursauts éthylo-rigolo de la veille.